« Tout repose sur toi, Code » lui fit comprendre son dieu, Isshiki Otsutsuki. « Mon plus loyal serviteur ». Peu de temps après, l’âme de Isshiki disparût. « La Volonté des Otsutsuki ne disparaitra jamais, ceci-dit ». Et bien qu’il ne soit pas un réceptacle compatible, le Inner de Kara dispose d’un Kâma particulier. D’une couleur blanche et doté d’un pouvoir écrasant. Il ne reste plus qu’à mettre la main sur Kawaki ou Boruto en vue d’offrir un sacrifice au Juubi. Ensuite, l’Arbre Divin naîtra et donnera un Fruit de Chakra cristallisant l’essence vitale de cette planète. « En le consommant, tu intégreras tout ce qui a vécu et disparu sur Terre… Y-compris moi, Isshiki Otsutsuki ». Ainsi le serviteur sera capable de devenir un Dieu. « Et je dévorerai planète après planète ». Dans l’optique de devenir Unique et Omniscient. « Si tu as tout compris, va mon cher enfant… Porte notre Sang et annihile les hérétiques ».
Les drogues que ce disciple de Boro a pris me font furieusement penser au stade 2 de la Marque Maudite d’Orochimaru. La métamorphose bestiale, notamment, semble indiquer une concordance entre ces boosters de métabolisme. Enfin ! Nous apprenons donc que Code est un réceptacle défectueux mais que son Kâma reste valide. D’où cette puissance hors-normes qui est la sienne. Et que dire de la révélation Eida ! Pierrot s’est particulièrement appliqué en termes de couleurs et d’ombrage. D’où une introduction remarquée qui donne déjà de petit indices quant à la menace potentielle que représente cette cyborg. Il va tout de même falloir que Kishimoto-san nous explique comment elle et l’autre androïde sont suffisamment dangereux pour surpasser une entité telle que Jigen… Et quid de ces marques de griffe permettant de se téléporter ? D’où viennent-elles ? Est-ce de la technologie ninja ou une partie du génome Otsutsuki ? Allez, la suite ! Il était temps de retrouver la version papier, krkr.
