Tsubaki n’a jamais eu de cesse d’entrainer sa lame. En vue de devenir un jour le nouvel espoir du monde Samouraï. Celui qu’il mérite. « Tu t’es encore améliorée, Tsubaki » l’avait un jour complimenté son senpai, Sazanka. « Je n’ai pas encore perdue ! » réplique t-elle. « Ta volonté est imparable…. Mais n’est-ce pas l’arôme du riz qui vient de finir d’être cuit que je sens là ? ». Une façon d’annoncer qu’il est temps de faire une pause. « Deviendrais-je un jour aussi forte que vous, Sazanka-san ? ». « Continue d’affiner tes compétences jour après jour… » lui répondit-il en lui tendant une main meurtrie par les entrainements. « Et tu en seras capable ». C’est à ce moment que Tsubaki se réveilla. À Konoha. « Pourquoi ai-je rêvé de ce moment-là ? ». Simple hasard ou mystérieuse prémonition ? « Un jour, nous deviendrons les Samouraï de Fer dont ce pays a besoin ».
L’un des épisodes-focus les plus importants sur Tsubaki à ce jour ! Et ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre vu l’affect que j’ai développé pour la Samouraï de Fer. Il faut dire que sa puissance, son désir d’être la fierté de son pays et de mériter la Kurosawa, mais aussi son ouverture aux autres (et à elle-même) ont été brillamment développés !
Quant à Sazanka, j’aurais aimé que sa persona se détache un peu du cliché « Je me suis égaré du droit chemin à force de rechercher la force pure ». A t-il vraiment tué ses disciples en tentant de voler la Kurosawa qu’il estimait mériter plus que n’importe qui ? Probable quand on voit à quel point il était anéanti d’avoir perdu lors du seul duel contre Tsubaki qui importait. Par pitié envers sa kohai ? Ou parce que celle-ci déploya son plein potentiel au meilleur moment ? Compte tenu de sa victoire, il faut croire que Sazanka s’était fichtrement égaré. Jusqu’au point de non-retour. « Tu as toujours été forte, n’est-ce pas ? » . Et encore plus maintenant qu’elle a des camarades qui ont pleine confiance en sa force. Allez, la suite ! Et quel opening, mes ami(e)s ! QUEL OPENING !
