Kashin Koji est-il vraiment sur le point de tuer un Otsutsuki ? En faisant appel aux flammes éternelles du Mont Kaen, Kashin s’est assuré que Jigen, ou plutôt Isshiki Otsutsuki, ne puisse pas les absorber avec son Karma. Car seuls les jutsu à base de chakra peuvent être annihilés par le sceau. Pour autant, Isshiki parvient à contenir l’intensité des flammes en les rétrécissant ! « Sukunahikona… » indique Amado à son audience. « Le jutsu secret d’Isshiki capable de réduire n’importe quel élément pour peu qu’il ne s’agisse pas d’un être vivant. Mis à part sa propre personne ». Mais cela importe peu puisque le Sukunahikona requiert énormément de chakra. « Voilà pourquoi nous avons attendu qu’il soit épuisé… » poursuit Amado. « Afin de le contraindre à atteindre ses limites ». Et c’est à partir de là que tout va se jouer. L’Étoile du Changement devra faire face, durant quelques instants, à un Dieu vivant.
Ainsi les Karma post-transfert, pour peu qu’il y en ait, s’effacent-ils lorsqu’un Otsutsuki achève sa réincarnation dans un réceptacle ! Ici, Kawaki, qui était un réceptacle viable mais incomplet, ne pouvait pas être utilisé par Isshiki. Voilà pourquoi il a dû se déporter sur Jigen dont le processus d’Otsutsukification était achevé depuis un moment déjà. Son Character Design est particulièrement réussi. Renvoyant une impression de puissance et de crainte.
Et que dire de la révélation comme quoi Kashin Koji est un clone de Jiraya ! C’était prévisible mais la révélation reste dingue ! L’Étoile du Changement serait-elle à nouveau destinée à mourir de manière tragique ? Je refuse d’y croire ! D’autant plus que Kashin a clairement montré qu’il n’entendait pas disparaitre ici et maintenant. Pas avant d’avoir vaincu son adversaire. Aussi puissant soit-il. Dommage que le combat entre lui et Isshiki n’ait pas bénéficié d’une réalisation AAA. Ce n’est pas tous les jours que nous assistons à l’émergence du Mode Ermite… J’imagine que le Studio Pierrot compte mettre la priorité sur le combat à suivre entre Isshiki et Naruto X Sasuke. Allez, la suite !
