Ainsi donc Mitsuki ne se sent pas bien. « Quelque chose d’inhabituel s’est-il produit récemment ? » lui demande Orochimaru. « Je fais beaucoup de rêves » répond Mitsuki. « Quand as-tu commencé à en avoir ? ». « Lorsque j’ai rencontré M. Onoki ». « De quels rêves s’agit-il ? ». Un peu de tout. Lorsqu’il a appris la vérité sur sa naissance. Lorsqu’il a activé son chakra de la nature. Lorsqu’il a vu pour la première fois une photo de Boruto. « Il est temps de faire des tests » annonce Orochimaru. […] « Est-ce que c’est normal ? » s’interroge le grand frère de Mitsuki, Log. « Peut-on vraiment tomber malade à cause de ses rêves ? ». « Si cela l’affecte émotionnellement… » répond Orochimaru. « Oui ». Au fur et à mesure des recherches, Orochimaru et Log apprennent que sa rencontre avec l’ancien Tsuchikage l’a fait s’interroger sur ses souvenirs et, plus important encore, sa volonté. Dès lors, le jeune homme a traversé une phase de rébellion. « La puberté, en quelque sorte ». Mitsuki a quitté Konoha pour se chercher auprès de comparses aux origines similaires. Puis il a fini par réaliser que Boruto était son véritable soleil. Au risque de s’y brûler. « Les blessures du coeur ».
Décidément, c’est la farandole des Épisodes Récap ! Ce qui, en soi, n’est pas surprenant vu que le Japon est en pleine Golden Week (série de 4 jours fériées concentrés sur sept jours). J’aurais préféré ne pas avoir d’épisode tout court plutôt que de me taper des flashbacks à gogo. Enfin… J’ai tout de même apprécié ce parallèle entre la maladie de Mitsuki et le fait que son coeur souffre des premiers drames qu’il a dû encaisser. À savoir la mort de son ami Sekiei suivie de celle de Onoki. A.k.a. la personne qui lui a montré l’importance d’avoir une Volonté propre. Au final, Mitsuki prouve à nouveau combien il est humain. Orochimaru a le droit d’être fier en tant que parent. Je l’avais déjà précisé lors de la review précédente mais le personnage de Mitsuki est l’un des mieux construits de Boruto. Sa quête du soi est non-seulement belle mais pure. Il n’y qu’à jeter un oeil au portrait de Boruto qui trône sur son lit, ahah. C’est beaucoup trop chou ! Les blessures du coeur ont beau faire souffrir, elles restent indispensables à notre soi. Allez, la suite ! Il serait temps de repartir sur du Canon…
