« La bombe n’était pas dans la valise » informe l’agent Sharman Deepak à une Anne Sampson, Commandante de la Police Métropolitaine, qui reste sans voix. « Si on se réfère à la dernière étude… » poursuit Deepak. « Le dispositif explosif a été fixé sur la scène elle-même ». « Je ne comprends pas… » répond Sampson. « Les chiens auraient dû détecter l’engin si cela avait été le cas ». « La bombe était enfermée dans un contenant sans oxygène… » précise le sergent Louise Rayburn. « Quand le détonateur s’est déclenché, une valve s’est probablement ouverte en vue de permettre la combustion de l’explosif ». « Minuteur ? ». « Détecteur de poids. D’où la nécessité d’emmener Mahmood en backstage ». Julia Montague, seule, n’avait pas déclenché la bombe car pas assez lourde. Tahir Mahmmod devait se sacrifier pour la tuer. « Cela étant dit, nous ne savons toujours pas s’il y avait un minuteur ou une activation à distance ». Par quelqu’un d’autre que Tahir. […] « Un problème, Tom ? ».
Non seulement la Sécurité Intérieure mais le Crime Organisé ? Jusqu’où s’étend la conspiration… Manifestement, le Premier Ministre lui-même est impliqué. En cause —> Un viol qu’il pourrait avoir commis sur une ancienne stagiaire. Du moins de ce que j’ai cru comprendre. Ajoutez à cela des addictions aux drogues et des montages financiers occultes dont Julia pourrait s’être servie pour faire chanter le PM, vous obtenez de sacrées suspicions. Visiblement, l’ancienne assistante de presse de Montague, Chanel Dyson, a des liens avec Luke Aikens, figure connue du crime organisé. Chantage, pression, récompenses… Pour avoir permis l’assassinat de Julia, de nombreuses personnes dans son entourage professionnelle et politique ont dû être compromises. Volontairement ou non. Anna Sampson n’a pas l’air d’en faire partie. Et pour l’heure, tout se tient en termes de cohérence. Même si je me demande comment David a pu savoir que la tablette cryptée se cachait dans ce cadre photo. Croisons les doigts pour un finale dantesque !
