Et vous allez voir que Richard Ferrand va s’accrocher jusqu’à bout u_u Un peu comme, hm, oui, tous les politiques ^o^ Personnellement, je n’ai toujours pas compris pourquoi l’intéressé n’a pas été viré ! Certes, le premier ministre, Edouard Philippe, se dédouane comme il peut en confiant le Ministre de la Cohésion des Territoires au bon jugement des Français. Lors des législatives des 11 et 18 juin prochains… Mais ça ne suffit pas ! D’autant plus qu’avec un peu de chance, une majorité des Français issus de la 6e circonscription du Finistère (où se présente Ferrand) pourraient le réélire ! Si le gouvernement Macron voulait vraiment donner l’exemple et insuffler un vent de moralisation dans l’espace politique, alors ce bon vieux Richard aurait été viré depuis un moment ! Parce que son opération immobilière est une farce. Une farce légale mais une farce quand même.
Exposé très clair de affaire Ferrand et Mutuelles de Bretagne par @JeromeBegle Et pq c’est suspect #FerrandDemission pic.twitter.com/GJeoSsWPxq
— Adroite (@Adroite2017) 27 mai 2017
D’ailleurs, ça prouve que la loi est parfois mal faite ! Comment le fait de louer un local commercial à sa femme non-propriétaire au moment de la signature du deal peut-il être considéré comme légal ? Cela sans qu’elle ne dépense le moindre centime vu que le prêt bancaire couvrant 100% de l’achat immobilier a été obtenu grâce au deal de son mari ! Lequel s’est porté garant en son nom et celui des Mutuelles de Bretagnes dont il était le directeur en 2010 ! Foutage de bouches u_u Et apprendre que l’ex-avocat à l’origine de l’opération immobilière, Alain Castel, l’admet volontiers fait plaisir à voir ! Concrètement, celui-ci avait été choqué à l’époque de devoir accepter un compromis de vente signé entre l’expert-comptable et Richard Ferrand. Un compromis de vente dont la condition suspensive était la conclusion du bail commercial avec une SCI devant substituer Richard Ferrand et les Mutuelles de Bretagne. La future SCI de sa femme. Pour autant, et malgré sa consternation, l’ancien bâtonnier donne son accord. Puisque « cela arrangeait tout le monde » en plus d’être légal. Ha, que le monde est mal fait !
