Et j’ai bien peur qu’ils ne soient pas les derniers. Le premier avait 29 ans et a été retrouvé sans vie samedi matin dans le hall du lycée Châtelet (Douai). Les secours ont pu le réanimer mais il a fini par décéder dans l‘après-midi. Le deuxième avait 50 ans et est mort, dimanche soir, en plein Paris : en état d’hypothermie (le sang se retrouve au dessous d’un certain oeil de température qui le rend incapable d’assurer les fonctions vitales), il a finit par faire un malaise cardiaque. Enfin, le troisième était de nationalité Belge mais avait élu domicile à Manderiez-la-Napoule (Alpes-Maritime).
Ayant auparavant beaucoup bu, son degré d’alcoolémie combiné au froid glacial auront eu raison de lui. À noter que sa mère vivait avec lui sous sa tente. Trois drames en l’espace d’à peine quelques jours sachant qu’il y en a peut-être eu dans la nuit du lundi au mardi. Auraient-ils pu être sauvés sachant que de nombreux centres d’accueil affichaient déjà complet ? Difficile à dire en l’état. Mes pensées aux victimes et à leur famille.
