Ma foi, ce fut un chapitre plutôt classe ! Forcément —> Merlin-sama nous fait grâce de ses talents multiples ! À commencer par cette sacro-saint magie d’infinité qui, combinée à sa vaste connaissance de l’univers, lui a permis de trouver une faille chez les terribles Cusack X Chandler. Soit les deux démons les plus puissants au monde mis à part le Roi. Pour une raison qu’on ignore encore, ils n’étaient pas présents lors de la dernière grande guerre. J’imagine que cela a à voir avec les paroles de Cusack à son élève ? Comme quoi Zeldoris finira par dépasser le maitre… Il n’empêche qu’on a un peu du mal à s’y retrouver avec toutes ces échelles de puissance ! Lesquelles n’en finissent pas d’atteindre des sommets. Gilthunder et Hendrickson n’ont jamais paru aussi faibles… Quant à celles et ceux qui voudraient voir Rueduciel y mettre du sien, le fait que Cusack ait démontré les limites de son réceptacle, Margaret, tend à nous indiquer que ce ne sera pas le cas.
Il faudrait que le N°2 des Anges (en incluant Maël) puisse dénicher un réceptacle à la hauteur de son pouvoir brut ! Bref —> Retour à nos deux démons ! Ce qui me gêne le plus, c’est qu’on est censé avoir affaire à des pros émérites du combat. Des démons antiques à qui on ne l’a fait pas ! Or, depuis leur introduction, ces derniers n’ont eu de cesse d’être pris de surprise par leurs différents adversaires. Même si contre Arthur, cela était volontaire. Il n’empêche que Nakaba Suzuki a beaucoup du mal à les hyper. Alors qu’il s’agit probablement des derniers gros bonnets à affronter avant le Roi des Démons puis, éventuellement, Dark Meliodas. Je me répète mais introduire les niveaux de puissance était une grande erreur ! À part servir de piédestal à la surenchère des power-up, je n’en vois pas l’intérêt. Espérons que le classicisme qui frappe Nanatsu no Taizai depuis quelque temps se dissipe d’ici peu.