Ici, au marché de ****, les démons vivent paisiblement. Marchandant différentes denrées dont de la viande d’humains. Ceci-dit, les vols d’enfants à même différentes fermes commencent à les inquiéter. « Si j’avais pu… » se confesse un démon alors qu’il vient d’acheter une main d’enfant à un étalage du coin. « J’en aurais volé aussi ! ». De fait, obtenir de la viande d’une ferme premium est impossible pour celles et ceux d’en bas. « Ça fait combien de temps que les gosses de Grace Field se sont échappés ? » se questionne son comparse. « Un an ! Ils doivent tous être morts depuis ! ». […] « Nous sommes de retour ! » annonce Emma. « Nous n’avons pas pu récolter beaucoup de nourriture aujourd’hui, désolé ». Cela fait désormais plus d’un an que les enfants ont dû fuir le refuge. Et les voilà désormais dans ce sanctuaire abandonné. À quelques lieux du marché des démons. Sans possibilité d’accueillir Phil et les autres, Emma, Ray et les leurs se retrouvent à devoir composer avec un espoir flétri. « Et maintenant, on fait quoi ? ».
Wow… On se retrouve directement à l’ellipse ?! Pas de Yuugo, pas d’arc Goldy Pond ??? Il y a de quoi déchanter quand on réalise que plusieurs tomes ont ainsi été éclipsés ! J’en viens à hésiter d’arrêter les frais. Du moins au niveau des reviews. Le fait de bâcler autant l’intrigue en occultant plusieurs pans essentiels m’apparait aberrant. Or, si je commence à ne plus prendre de plaisir à écrire, quel intérêt de continuer ? Je continuerai à regarder de loin. Qui aurait pensé que cette deuxième saison incarne cet espoir flétri que ressentent Emma et sa famille ? Le seul intérêt est ce focus sur l’humanisation des démons et leur besoin de consommer de la viande d’humains de bonne qualité. Au risque d’être soumis à une dégénérescence affectant leurs capacités cognitives et physiques. Mais à part ça… Même les retrouvailles avec Norman sont bâclées (elles n’interviennent que plusieurs tomes après l’ellipse) ! Allez, ce sera tout pour moi ! Pause temporaire ou (probablement) définitive niveau reviews.
3/10
