Que fait Satella ici ?! « Pas le temps de se poser des questions ! » réalise Subaru. « Elle est attirée par moi alors je vais l’attirer au Manoir de Margrave ! ». Quant à Garfiel, celui-ci entend leur frayer un chemin à coups de force et de magie. Malheureusement, ce n’est pas suffisant. Satella est beaucoup trop forte et, en quelques secondes seulement, Garfiel et sa mini-armée de fausses Ryuzu ont disparu de la surface de la Terre. « Je t’aime… » ne cesse de répéter la Sorcière de L’Envie. « Je t’aime. Je t’aime. Je t’aime ». « La ferme !!! » répond Subaru. « Tes déclarations ne pèsent rien ! Les places de N°1 et de N°2 sont déjà prises dans mon coeur et comparées à tes soeurs, tu es bien en dessous !!! ». C’est à cet instant que Subaru fut englouti par le miasme de la sorcière. Des ténèbres étouffantes mais non létales. « Vais-je rester ainsi… tout le temps ? ». Non ! Le mouchoir que lui a passé Petra s’avère, après l’intervention inopinée d’Echidna, un éclat tranchant. « Elle savait ce qui allait se passer… » comprend Natsuki. Il est temps de tout recommencer à zéro.
Emilia et Satella ne sont-elles vraiment qu’une seule et même personne ? D’où cet amour vicié et malsain. Dans tous les cas, voir à nouveau Subaru craquer et s’effondrer en pleurs montre à quel point ce protagoniste est différent des héros classiques. Pétri de faiblesses et ne devant ses victoires qu’à une malédiction le contraignant à mourir puis ressusciter. Tout cela au sein des Miasmes de la Sorcière de l’Envie. La seule bonne nouvelle est que cette phase a permis à Subaru de côtoyer les souvenirs de celles et ceux ayant été happé(e)s par Satella. Dont Ryuzu et ses copies qui s’avèrent être une tentative d’Echidné pour y infuser son âme ! L’expérience fut un échec, ceci-dit. « Le réceptacle n’était pas suffisamment viable ». Je me demande si elle entend utiliser Natsuki dans cette optique… Enfin ! J’aurais aimé davantage de rythme pour cet épisode qui, à force de vouloir recoller les pièces du puzzle, laisse une partie de ses fans sur le bord de la route. Allez, la suite !