Depuis que Katherine a pris possession du corps d’Elena, tout lui sourit. Plus de fuite, plus de solitude, et plus de Damon. Lequel semble avoir littéralement pété une durite depuis qu’Elena/Katherine l’a jeté. Sauf qu’il ne sait pas que ce n’était pas Elena. Personne ne le sait. Le problème est que, maintenant qu’il a tué Aaron, Damon a emprunté un chemin plus sombre que jamais. Et Katherine peut s’en donner à coeur joie dans sa mission de reconquérir Stefan.
Clairement : le gros point fort de Vampire Diaries reste la puissance de ses personnages. Ici, celui de Damon fait un immense bond en arrière : redevenant le monstre qu’il était auparavant. Et c’est logique dans la mesure où Damon n’a jamais été véritablement bon qu’au contact d’Elena. Or, celle-ci parti, et sous la mauvaise influence d’Ezio (auquel il se sent redevable), aucune raison de l’être à nouveau. J’aime bien ce coté anti-bisounours tendant à montrer que la nature profonde des gens ne change jamais.
Il n’y a qu’à voir Katherine aka la reine des bitchs.Peu importe ce qu’il arrive aux autres, sa seule obsession est de former un couple avec Stefan. Mon dieu ce qu’elle est énervante. Et dire que j’ai eu pitié d’elle quand elle était au seuil de la mort. À part ça, j’apprécie que les scénaristes tentent de donner une quelconque importance à Matt mais bon, à moins de lui donner des super pouvoirs, celui-ci restera éternellement un personnage de quatrième zone. Anyway : bon épisode avec un cliffhanger puissant comme VD sait les faire. Vivement la suite…
