Jolyne Kujo a enfin réussi à trouver la parade contre le stand C-Moon du père Enrico Pucci mais ce dernier déborde de ressources et parvient encore une fois à s’en sortir. Et alors qu’il s’apprête à donner le coup fatal à Jolyne, ses amis, accompagnés de son patriarche Jotaro Kujo, débarquent pour la sauver d’une mort certaine.
Acculé, Enrico Pucci parvient toutefois à atteindre le stade ultime du développement de son stade : celui que chérissait tant Dio. Voilà venir Made in Heaven : redoutable, Pucci possède dorénavant le pouvoir d’accélérer le temps. Il n’y a dès lors qu’un seul homme capable de mettre un terme à ses agissements : celui qui possède le pouvoir de l’arrêter, Jotaro Kujo.
Force est de constater que ce tome final restera dans les mémoires ne serait-ce que par son dénouement que personne, je dis bien personne, n’aurait été capable d’anticiper. Au delà de ça, le combat entre Made in Heaven et nos héros est bien mené, lisible et haletant. Dommage ceci-dit que Jolyne Kujo ne joue pas une part plus importante dans cette dernière joute.
Mise à part ça, rien est à déplorer : chaque personnage aura au final disposé d’un beau background et d’un développement continu au fil de l’intrigue. Celui qui manquait à l’appel jusqu’alors, Emporio, se voit finalement octroyer une importance majeure dans cet arc Stone Ocean. Quant à revenir sur la fin, celle-ci bouleverse totalement les 80 tomes de la saga Jojo’s Bizarre Adventure. Et si nous avions été un premier temps déçus par cette conclusion, force est de constater qu’il en est plus forcément le cas maintenant (même si elle aurait pu être mieux amenée et aboutie). Une chose est certaine : il n’y avait bien que Hirohiko Araki pour y penser.
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