Fuji a fort à faire contre Niô et son illusion de Tezuka : soit le seul homme qu’il n’ait jamais réussi à vaincre à la singulière. Mais le génie a plus d’un tour dans son sac et s’apprête à le prouver durant ce match. Pendant ce temps, Momoshiro tente le tout pour le tout afin de faire récupérer sa mémoire à Echizen. Et cela passe par la raquette et la sueur. Game on. En attendant, Eiji et Oishi se prépare à affronter leurs opposants : non sans tracas.
Et pourtant, il leur faut impérativement gagner : Rikkai ayant à son actif deux matchs gagnés contre un seul pour Seigaku. L’heure est venu de passer au choses sérieuses et de montrer à tous à quel point le duo Eiji/Oishi est le meilleur de tout le Japon. En attendant, le prodige ultime du tennis s’apprête à entrer en jeu : et il ne s’agit pas forcément d’Echizen.
Faute de Tezuka, on a cette fois-ci bien du mal à s’adapter au WTF continu des matchs. Non mais sérieusement le joueur qui se transforme en clone de Tezuka…pourquoi Takeshi ? Pourquoi ? Et cette histoire d’Echizen dans le coma…c’est franchement ridicule : idem pour cet énième power-up ultime sorti de dessous les fagots. Aussi inconcevable que la sixième contre-attaque de Fuji qui frappe le court adverse tel la foudre.
Et que dire de la mise au ban de Tooyama Kintarô contre Yujimura ? Oui oui, celui-là même qu’on nous avait présenté comme le deuxième prodige au talent égal à Échizen. Cruel et franchement évitable. Puis c’est qui ce Yukimura Seiichi, aka l’enfant divin, sorti d’un chapeau magique ? Je sais bien qu’on avait besoin d’un boss de fin pour clore la série mais tout de même, un peu de cohérence et de respect des personnages n’aurait pas fait de mal. Enfin, je me plains, je me plains, mais j’ai quand même tout lu jusqu’au bout hm.