Alors que le président Russe Petrov s’octroie une petite visite aux États-Unis, de grosses vagues de protestation LGBT/Pussy Riot font rage aux abords de la Maison Blanche. Quant aux négociations, le premier mot à sortir de la bouche de Petrov est « Non ». Juste « Non ». Mais là n’est pas le problème : le problème est de savoir si, entre le « Non » et le « Oui », il y a un « Peut-être ».
Ettttt voilà pourquoi j’adore House of Cards. Une série maitrisée de A à Z et qui, tel un morceau de classique ponctué de passages néopunk, s’enchaîne sans discontinuer et avec une qualité constante. Ici, la confrontation entre Frank et Petrov est extrêmement intéressante à suivre du fait de l’opposition entre deux visions du monde. Et ce qui est génial est qu’on se demande si la même conversation a pu avoir lieu entre Vladimir Poutine et Barack Obama.
Puis Claire Underwood, cette classe impériale (⌐■_■) L’alliance avec Cathy histoire d’engager les troupes de l’UN en Jordanie sans passer par la Russie est très bien pensée. Puis Frank qui décide d’avoir sa conférence de presse sans le président russe une fois qu’il a compris que ça ne sert à rien de négocier avec quelqu’un qui ne désire pas la paix. Bravo. Non pas que Frank la souhaite également hein. Non, Frank souhaite simplement s’assurer la victoire pour 2016.