Depuis qu’elle a quitté les Cheerios, Sue Sylvester se sent on-ne-peut-plus mieux : son nouveau travail, entraineur de gym, lui convient à merveille et elle a enfin l’impression d’être considérée à sa juste valeur. Mais Beckie en a plus qu’assez de la nouvelle coach, de même pour Blaine qui supplie Sylvester de revenir : sans elle, les cheerios ne sont qu’une coquille vide.
Du coté de Santana, celle-ci est totalement paumée depuis sa venue à New-York : elle ne sait absolument pas ce qu’elle veut et, en attendant, officie en tant que gogo danseuse dans un bar. Une situation que Rachel et Kurt n’acceptent pas et notamment ce dernier qui lui propose de venir assister à un balais d’opéra. Un évènement qui déclenchera quelque chose d’important pour Santana.
Épisode moyen qui aura l’avantage de faire avancer les choses sur le devenir du coach Sue, dont le remix de Little Girls est par ailleurs excellent, mais aussi Santana (toujours magnifique) dont le personnage stagnait depuis bon nombre d’épisodes et qui se voit reboostée par le personnage de Sarah Jessica Parker. En ce qui concerne Ryder, celui-ci évoque une partie douloureuse de son enfance durant laquelle il s’était fait touché par sa baby-sitter (il avait alors 11 ans). Problème plutôt bien tourné puisque la réaction générale est « Mec, tu t’es fait touché par ta babysitter à 11 ans. C’est juste swag quoi ! ».
On a en effet bien du mal à concevoir les viols masculins tant on pense que les mecs sont tellement tournés sur le sexe que se faire violer par une femme (d’autant plus que la baby-sitter de Ryder avait dans les 18 ans) est génial. Mais non pas pour tout le monde. L’occasion de rapprocher l’adolescent de Kitty à qui il est arrivé la même chose et dont la totalité de ses amis se sont retournés contre elle : la traitant de menteuse car le garçon en question était apprécié dans son collège. Un sujet intéressant mais assez vite éclipsé par les chansons acoustiques du club qui, il faut l’avouer, sonnent plutôt pas mal.
