Se travestir en Pères Noël, recevoir des cartes du Nouvel An et des chocolats pour la Saint-Valentin, tout allait bien dans la vie de Gintoki, Kagura, Shinpachi et leur chien Sadaharu. Et encore plus depuis que O-Tose était parvenue à réintégrer la belle Catherine qui avait failli leur faire faux bond après s’être fait manipulée par un enjoliveur sans scrupules. Mais voilà, ça, c’était avant que le drame ne vienne taper à leur porte. Le drame avec un « D » majuscule. Désormais, plus rien ne sera comme avant.
Et bien ! Autant la première moitié de ce tome 34 manquait clairement d’inspiration (entre les faux Papa Noëls et les cartes du Nouvel An en papier mâché), autant la deuxième moitié aborde un nouveau gros arc et surprend dans le bon sens. Et pour cause, Gintama vient tout bonnement de connaitre son premier gros drama depuis le début de sa publication. Soit l’assassinat de O-Tose, locataire et seconde mère de Gintoki, des mains du sinistre Jirochô.
Lequel semble partager un lourd passé avec elle puisqu’il serait celui qui aurait tué son mari, Tatsugurô Terada. Tout ça parce que Jirochô voulait sortir avec O-Tose mais qu’elle a préférer se marier à Terada. Dans le genre « Frustré de la vie », il se pose le papy. Sachant qu’il a quand même fait ses affaires avec une autre femme, lui a fait une fille, Pirako, puis les a toutes les deux abandonnées parce qu’il continuait à faire une fixette sur O-Tose…
Résultat : Pirako a le seum et a fait en sorte que les quatre grandes rois célestes de la ville de Kabukichô, dont font partie Jirochô et O-Tose, se mettent sur la gueule. Avec comme issue fatale la mort de O-Tose… Mais est-elle vraiment morte ? Dire que même sous le coup de la rage, Gintoki n’a pas pu venir à bout du vieux loup… Dire qu’il avait fait la promesse à O-Tose de veiller sur elle jusqu’à la fin ! Encore une fois, Gin n’aura pas honoré sa parole.