John McClane (Bruce Willis) vient d’apprendre que son fils Jack (Jai Courtney) avait tenté d’assassiner un homme en Russie et se retrouve donc condamné à la prison à vie (au mieux). Il va donc lui falloir entamer un voyage en Russie pour s’assurer que son rejeton ne fera plus trop de bêtises du même genre : sauf qu’en fait Jack est un espion de la CIA et est chargé de veiller sur la sécurité d’un prisonnier politique.
Évidemment, tout ne se passe pas comme prévu et Jack McClane va devoir faire appel au père McClane pour l’aider à se débarrasser des méchants pas beaux. Mais les relations entre John et son fils sont compliquées : ce dernier lui reprochant de ne pas avoir été là quand il en avait le plus besoin. Arriveront-il à faire équipe malgré tout ?
Nul. Tout simplement nul. Histoire zéro, montage zéro, acteurs zéro, action zéro : même Bruce Willis n’y croit pas pendant tout le film et ça se voit. Il est fatigué, too old for this shit et spécialement quand c’est vraiment de la daube.Tout est mal ficelé, on ne comprend rien parce qu’il n’y a rien à comprendre et les cliffhangers n’ont aucun sens passé l’effet de surprise (ce qui a tout de même l’avantage de nous sortir d’un sommeil profond).
Aucune réplique ne sort naturellement et les musiques, dieu les musiques, elles paraissent sorties d’une playlist « opéra » aléatoire : à aucun moment on ne sent de synergie entre quoi que ce soit. Ne parlons pas des méchants stéréotypés au possible et vide de toutes substances. Même les crédits d’ouverture sont ratés. Alors certes, on sait que les blockbusters d’aujourd’hui requièrent de mettre son cerveau de coté pendant le visionnage mais il y a quand même un minimum requis : ce minimum, Die Hard 5 ne l’a pas.
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