Alors que Sebastian vient d’être poignardé par la grande faux, les souvenirs de sa rencontre avec Ciel commencent à affluer. Dans quelles circonstancse Sebastian a t-il fait un pacte avec ce jeune homme à l’apparence fluette mais à la détermination sans égale ? Et comment Sebastian en est-il arrivé à devenir un majordome hors pair ? Et Ciel un maître de maison aux multiples talents ?
Autant de questions qui trouvent ici une réponse et expliquent ce qui va suivre : faux de la mort dans le dos ou non, Sebastian n’est pas homme à partir aussi facilement. Et il va le prouver sur le champ en se transformant en démon aussi terrifiant que puissant. En attendant, le bateau menace de sombrer d’une seconde à l’autre.
Plutôt rythmé, on ne pourra s’empêcher de regretter ce plagiat de Titanic à la sauce zombie qui, s’il partait moyennement bien, peine au final à convaincre. La faute à des références trop flagrantes et grossièrement exécutées pour la plupart d’entre elles. Dommage car le combat, plutôt bien mis en scène, est important et comporte pas mal de révélations liées notamment à Undertaker.
Cette partie terminée, un court chapitre sur la chasse à l’œuf de Pâques se charge de nous amuser avec situations grotesques et gags rocambolesques à la clé. Puis nous entamons un nouvel arc avec, cette fois-ci, une inspiration de Hana Yori Dango avec les F4 et Harry Potter avec les 4 maisonnées. L’auteur ne peut manifestement pas s’en empêcher. Pour le moment, ça passe : Ciel en mode écolier et Sebastian en intendant étant des moments assez cocasses à voir. Wait & see !