Outre la cérémonie, déjà surprenante en soi niveau palmarès, c’est son déroulement même qui aura marqué les esprits de par le nombre considérable de mini-scandales ayant émaillé l’évènement. Le premier d’entre eux aura été la tenue d’Anne Hathaway un tantinet moulée puisqu’on voyait apparaitre ses tétons de manière plus ou moins flagrante. Ce qui, dans une Amérique parfois assez puritaine, a du mal à passer.
Un peu plus osé : la référence à l’assaut physique de Chris Brown sur Rihanna en 2009 par l’humoriste Seth MacFarlane (qui présentait par ailleurs la cérémonie). Celui-ci a ainsi introduit une comparaison osé avec le film Django Unchained : « C’est l’histoire d’un homme se battant pour retrouver sa femme qui a été l’objet d’une violence insoutenable. Ou encore, comme le diraient Chris Brown et Rihanna, une histoire d’amour ».
Mais ce qui restera le plus dans les esprits vient de notre nouvelle chouchou Jennifer Lawrence qui, en montant les marches pour recevoir son oscar de la meilleure actrice, s’est emmêlée les pieds dans sa robe et est tombée maladroitement tandis que Bradley Cooper et Hugh Jackman se pressaient pour aider à relever la belle.
Un peu moins mignon, le tweet du site satirique The Onion comparant la ravissante Quvenshane Wallis des Bêtes du Sud sauvage à une s***** : les réactions n’ont heureusement pas tardé à se faire entendre et le CEO, Steve Hannah, a lui même publié des excuses sur la page Facebook du site en plus de punir le ou les responsables du dit tweet. Enfin, au moins la cérémonie aura été moins chiante que les Césars.
