Probablement la raison n°1 qui fait que je n’irai jamais habiter là-bas. Pour tout vous dire, même l’idée d’y voyager ne m’enthousiasme pas des masses alors que, de base, j’adorerai voyager à Pékin. Seulement voilà, la pollution y est tellement dense qu’elle présente un véritable risque pour quiconque doit se frayer un chemin à travers l’immense nuage de particules fines qui envahit, depuis bien trop longtemps maintenant, la Cité interdite.
Et plutôt que de ville à l’Éternel Printemps, il faudra parler ici de ville à l’Éternelle Pollution où les enfants sont contraints, quand ils font du sport, de jouer dans des stades fermés dits de « Purification d’Air ». Et oui : dehors, le risque est bien trop grand. D’autant plus depuis que les experts s’accordent à dire que les probabilités d’attraper un cancer des poumons ont été démultipliées depuis la hausse spectaculaire de la pollution constatée il y a de ça une dizaine d’années (croissance économique, mondialisation, toussa).
Les habitants investissent dorénavant dans des purificateurs d’air et vont même jusqu’à troquer les fameux masques en papier contre des masques filtrants beaucoup plus performants (et plus chers) à base de canettes purifiantes. Et durant les jours où la pollution atteint des pics, les pékinois préfèrent rester chez eux plutôt que de risquer d’attraper une migraine ou pire encore.Bref, il va vraiment falloir que Pékin déploie une politique radicale quant à ce problème qui, pour une fois, concerne aussi bien les riches que les pauvres.
ce que nous voyons ici en terme de pollution de l’air, des sols, c’est notre avenir à tous
http://www.alcor-controles.fr/actualites-et-informations/recherche-pollution-des-sols-sites-realises.html