« Faites place ! » annonce un homme. « Le cortège de la Grande Courtisane de Wano se prépare à fouler le sol de la Capitale Florale ! ». Et effectivement, une douce mélodie de flûte envahit progressivement les rues tandis qu’un bâton de procession frappe la terre en rythme. « Komurasaki, la Oiran de splendeur, nous fait grâce de sa présence ! ». « Komurasaki-sama !!! » crient les chalands. « Oiran ! Oiran !!! ». Un simple regard sur cette femme illumine le coeur et transporte de joie. « Haaa ! » manque de défailler une jeune femme. « Elle est si belle que je n’arrive pas à soutenir son regard plus d’une seconde ! ». « Désolé ! » déboule Toko, la Kamura de Komurasaki. « Je suis en retard ! Ahahaha ! ». « Sacrée toi… » souffle la belle femme. « Arrête de m’inquiéter ainsi en disparaissant je ne sais où ! ». « Désolé, grande soeur ! Hihihi !!! ». Sur ce, que la cérémonie reprenne ! Quitte à devoir composer avec trois déchets qui, par égo, ont tout perdu. « Tu nous as tout enlevé, Komurasaki ! Tout !!! ». « … ».
Ces individus qui affirment avoir tout perdu à cause de Komurasaki m’ont l’air de parfaites vermines. Prenons ce vieillard édenté par exemple —> Au vu de son flashback, il semblait tirer profit du deuil des habitant(e)s afin de leur soutirer un maximum d’argent lors des funérailles. Tout en les incitant à faire crédit et à s’endetter jusqu’au point de non retour. Sans compter le fait qu’il ait vendu sa propre famille afin de s’emparer de la Grande Courtisane de Wano. Bien fait ! Komurasaki-san semble avoir parfaitement cerné la vanité des hommes en vue de l’exploiter à ses propres fins. Toutes ces « victimes » ont probablement un mauvais fond alors je la soutiens à 100%. Pour autant, je n’arrive pas à savoir si elle sera une alliée de Luffy par la suite ! Le fait que la petite Toko se soit liée d’amitié avec Sanji, Franky et Usopp m’incitent à penser que ce sera le cas… Et quid de son protecteur, Kyoshiro le Somnolent ? En qualité de chef des yakuza, il ne m’a pas l’air particulièrement sympa… En attendant de le savoir, profitons sans discontinuer de la beauté étincelante de la Oiran !