Voilà qui ne risque pas d’apaiser la polémique vis-à-vis du meutre d’un braqueur à Nice après qu’un bijoutier lui ait tiré dessus. La victime avait déjà été condamnée, entre 2006 et 2011, à 14 reprises mais à chaque fois très vite remis en liberté (soulignons que 13 condamnations étaient du fait d’un tribunal pour mineurs). Probablement sous couvert de la réinsertion du condamné si chère à notre ministre Taubira. Après avoir passé près de 2 ans en prison, il en sort dès août 2013 grâce à un aménagement de peine et une mise sous surveillance (bracelet électronique) qui se termine moins de deux semaines avant le braquage.
What else ? Comme la plupart des condamnés, ce jeune homme se sentait très probablement dans un climat d’impunité total. Et pour cause, la justice n’a fait qu’être clémente à son égard. Pourquoi ne recommencerait-il pas encore et encore ? Ce qu’il n’avait pas pris en compte, c’est qu’un bijoutier ne tolérerait plus cet état de fait et commettrait l’irréparable. À l’heure où j’écris ces lignes, la fanpage de soutien au bijoutier de Nice a dépassé les 400 000 likes.