Quel chapitre ! Et quelle référence épique à la plus grande fin qu’ait jamais connu un film de super-héros (à savoir Endgame) ! « Heroes, Assemble ! ». Que celles et ceux qui peuvent encore combattre rejoignent le champ de guerre ! Et quand bien même Kohei enchaine certains poncifs tels que la valeur de l’Amour et de l’Amitié, force est de constater que le tout est imbriqué intelligemment. Soigneusement. Même le revirement de Kurogiri a.k.a. Oboro Shirakumo fait sens puisque Aizawa fait appel à la force des souvenirs et l’envie de protéger ses élèves. Ce que Kurogiri a toujours éprouvé à l’encontre de Shigaraki. Ce moment était à la fois poignant et touchant. Clairement, l’écriture a fait un bond en avant depuis quelques tomes. Et il faut rendre à César ce qui est à César. Cette conclusion s’annonce est un sans-faute pour l’heure. Enfin, presque, on n’aura jamais su qui était le père de Deku, ahaha.
J’ai vu une théorie un poil ridicule sur le net comme quoi All For One serait en réalité…. le paternel d’Izuku. Ou plutôt ce qui a suivi la phase Esprits entre Deku et Tenko. À un moment, Midoriya fait savoir qu’il est « impossible » que All for One ait survécu au coup qu’il a donné au noyau de Tenko. « Alors quelle est cette chose qui se présente à moi ? ». Il pourrait potentiellement s’agir d’une erreur de traduction donc à voir. Pour l’heure, satisfaisons-nous de cette arrivée des renforts. Dont la corne de la petite Eri qui a pris un gros risque puisque cela pourrait altérer à jamais son alter. Mais pas son rêve de pouvoir chanter un jour. Encore une fois, la symbolique est belle. Celles et ceux qui peuvent encore combattre, celles et ceux qui ont déjà combattu, voilà comment Izuku est devenu le plus grand héros au monde. Avec l’aide des autres.
