Alors qu’elle se maquille, Zawora est soudainement témoin d’un meurtre. Et le tueur se tient à quelques mètres d’elle dans l’immeuble d’en face. « Merde, il m’a vu !!!» peste t-elle. Il ne lui reste plus qu’à fuir et avertir la police. […] « Je crois que le tireur me suit…» informe t-elle l’agent au bout du fil alors que son taxi commence à rouler. « Le meurtre a eu lieu au Blue Harrington… Non ! L’immeuble en face ! 3e étage, je crois… Bref, envoyez vos gars ! ». Il va maintenant falloir que Zawora parle à Vladimir. Mais pas après avoir dansé. « T’es en retard, salope !!! » l’informe gentiment sa partenaire. Ha, si seulement la jeune femme avait su que le tueur l’avait suivi jusqu’à son lieu de travail. « Fuis, Zawora… » s’ordonne la danseuse alors que son regard vient de croiser celui du monstre. « Fuis si tu tiens à la vie !!! ».
Je n’ai absolument rien compris à la fin, ahah. Certes, je me doutais que ce serait wtf vu que dès le départ, Zawora est témoin de son propre meurtre ! Même si elle ne le sait pas à ce moment-là. S’ensuit une course-poursuite psychédélique et bardée d’onomatopées visuelles avant d’atterrir dans un salon du vice. Où drogues, sexe et décadence sont les normes. Au moins en a t-on pour notre argent niveau sensations. Au passage, je l’avais déjà souligné à l’issue de l’épisode 01 (d’ores et déjà entré dans l’histoire de l’animation 3D) mais l’absence de censure est un gros point fort de Love, Death & Robots ! Ici, le choix de montrer la nudité de Zawora est la bienvenue. Tant que c’est fait dans une optique réaliste et esthétique. Qui plus est, le voyage s’avère fou ! À défaut de comprendre le final… Zawora aurait donc tué le type louche et non l’inverse ? Dans ce cas, pourquoi vouloir la prévenir ? Étrange.