« Coup monté », « Répression politique » : les mots ne manquent pas à Frigide Barjot pour témoigner de son éviction d’un appartement qu’elle louait à Paris depuis 30 ans. Mais les raisons seraient tout autre puisque le motif de l’assignation proviendrait de l’utilisation commerciale des lieux par son mari ainsi que de la sous-location des locaux. Des actes contraires aux obligations tenus par les locataires lors de la signature des baux d’habitation.
La décision aurait d’ailleurs pu être prise avant mais Delanoë a préféré, pour éviter l’amalgame, retardé l’assignation et attendre la fin des manifestations anti mariage-gay. Qu’importe, pour les partisans de la manie pour tous, il s’agit d’une sanction politique. Mais qu’ils se rassurent, Frigide Barjot ne sera pas mise à la rue puisqu’elle est l’heureuse propriétaire d’un autre appartement…situé dans Le Marais.
Notez la remarque déplacée, biaisée, et 100% partisane de M. Pernault sur le sujet :