Dixit Sony lui même qui, interrogé par le magasine officiel Playstation, a avoué que la petite dernière souffrait d’un manque de soutien des éditeurs tiers.
La faute à des ventes médiocres sur les trois principaux continents (Japon, USA et Europe) qui entraînent du coup une frilosité des éditeurs craignant que leurs jeux ne se vendent pas assez.
La console avait pourtant un excellent line-up mais a été handicapée par son prix jugé prohibitif. Le problème est que ce n’est pas du tout le cas si on considère la technologie embarquée dedans.
Mais rien a faire pour le grand public dont le seuil psychologique semble avoir été franchie ! Et Sony vendant déjà la PS Vita à perte, une baisse de prix est exclu. Ce qu’ils auraient du faire plutôt, c’est appliquer une politique similaire à la PS1/PS2 avec une moindre puissance mais plus abordable. L’avenir s’annonce du coup bien compliqué pour la Vita ! À suivre !