Ça y est, Tanjiro Kamado est parvenu à déplacer ce maudit rocher ! « Mais ce n’est pas suffisant… » réalise t-il. « Si je me détends ne serais-ce qu’une seconde, je ne pourrai plus le pousser davantage ! ». « Une seconde plus et j’aurais réussi ! Mon corps inférieur… Mon corps inférieur !!! ». « Tempura Tempura !!! » s’enflamme à son tour Inosuke Hashibira en poussant son rocher. Et il y est parvenu ! Ha, la flamme de la compétition ! « Bordel, ça craint ! » peste Zenitsu Agatsuma. « Je peux pas être laissé pour compte ! ». « Chu chu ! Chu chu ! ». « Chuntaro ? ». Qu’est-ce que son moineau fiche ici ? « Une lettre ? ». […] « Un Cho ! » s’exclame un Tanjiro épuisé. « J’y suis arrivé ! Mon entrainement avec M. Himejima est terminé ! ». Ha, si seulement il n’allait pas mourir de déshydratation. « Namu Amida Butsu ». Heureusement que le Hashira était dans les parages avec de l’eau. « Je reconnais tes efforts… Qu’il s’agisse de ce camp ou de tes exploits au Village des Forgerons ». Ainsi un nouveau chapitre s’ouvrit-il.
Cet orphelin recueilli par Himejima-san qui n’a pas hésité à le livrer lui et les autres enfants parce qu’il était terrifié à l’idée de perdre sa vie. Quelle tragédie. Et quelle illustration de la couardise des humains lorsqu’il s’agit de survivre. Le cas de la petite Sayo qui, du haut de ses quatre ans, et face au traumatisme de voir ses ami(e)s se faire massacrer par un monstre, est davantage compréhensible. « Elle m’a confondu avec la créature qui s’était volatilisé une fois le jour levé ». Heureusement que Kagaya Ubuyashiki est intervenu. « Et même lorsque tu t’es retrouvé acculé, même face à la flamme de la compétition, tu n’as jamais trahi ta nature ». Quid de Zenitsu ? La lettre qu’il a reçu semble l’avoir chamboulé au point de ne plus être lui-même… Sans parler de la rencontre entre Muzan Kibutsuji et Kagaya Ubuyashiki qui risque de rabattre les pièces sur l’échiquier.
On en parle de l’entrée de Muzan ? La scène est vraiment trop stylé, sans parler du flow et du charisme de Muzan. La mise en scène et la musique m’ont rappelé Fate.
Maintenant que tu le dis, c’est vrai que le style était très Fate !