Chapitre frustrant mais, cette fois-ci, dans le mauvais sens du terme. À savoir que Morikawa laisse beaucoup trop s’installer le suspens, tant et si bien qu’on se retrouve à la fin du chapitre dans la même situation qu’au début. Avec une fin coupée à la viking, comme d’hab. À vrai dire, la seule chose qu’on apprend ici est le fait que Alfredo Gonzales abhorre les idoles. Ça fait léger.
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