Fairy Tail 317
Chapitre de transition un peu boring à cause du nombre conséquent de pages dédiées à la question « Oui ou non la Lucy du futur est-elle honnête avec le reste de son groupe ? ». La deuxième partie aurait pu être intéressante si la question sulfureuse soulevée par Rogue par rapport à l’infériorité de Gagil par rapport à Natsu aurait été développée…mais non. On passe à un autre topic ,dit le « Non tu n’es pas sans ami, regarde tu as Frog », assez mal amené. Ceci-dit, la fin laisse entrevoir un prochain chapitre intéressant. A voir.
Naruto 619
Une nouvelle fois, Naruto se démarque du lot avec de nombreuses informations livrées sur les raisons du massacre d’Itachi vis-à-vis de son clan et sur la malédiction si caractéristique du clan Uchiwa. On apprend ainsi qu’Itachi avait compris très jeune à quel point il était important d’avoir une vision d’ensemble sur son monde : ce qui explique pourquoi il était davantage rattaché aux valeurs de la fondation de Konoha et du Shinobi dans son sens noble du terme plutôt qu’aux revendications claniques de sa famille.
On apprend également les origines du sharingan : celui-ci a en réalité peu à voir avec le talent et davantage avec les sentiments de tristesse, de haine liées perte d’un être cher. Ainsi, alors que les Senjus puisent leurs forces dans l’amour de l’autre, les Uchiwas le puisent dans la haine de l’autre. Haine elle-même puisé dans l’amour d’un proche. Pour Sasuke, c’était Itachi (et vice-versa) et pour Madara, c’était son jeune frère Izuna. Fait amusant : voir les Hokages se chamailler entre eux et révéler ainsi leur vraie personnalité, en décalage total avec ce que l’on s’attendait d’eux, est plutôt cocasse et bien amené par Kishimoto
One Piece 698
Chapitre mitigé cette fois-ci du fait d’un facteur : Smoker qui, encore une fois, ne parait pas, mais alors pas du tout à sa place dans le Nouveau Monde. D’abord Trafalgar Law, puis Vergo…et maintenant Doflamingo : le vice-amiral se prend raclée sur raclée et autant vous dire que ça nous irrite un tantinet au vu du charisme du personnage dans la partie 1. Autrement pas grand chose à dire quant à l’explication du business « Smille » : longuette mais nécessaire. Il n’y a au final que le cliffhanger de fin et l’apparition de Sieur Badass Aokiji pour sauver ce chapitre du trépas.
j’aime itachi