Et là encore, on va nous dire que l’ensemble des établissement dans lesquels il a officié n’étaient pas au courant. Ou comment prendre les gens pour des c*ns <_< Pour rappel, un directeur et professeur d’école en Isère avait été arrêté fin mars 2015 sur la base de soupçons de pédophilie concernant au moins 11 élèves d’une classe de CP. Il leur aurait notamment bandé les yeux et, lors d’un atelier de goût, forcé à lui faire des fellations. Sachant que le sous-homme avait déjà été condamné en 2008 pour « recel d’images à caractère pédopornographiques ». Et nous voilà donc aujourd’hui avec ces 50 nouveaux cas de pédophilie.
Lesquels auraient eu lieu sur l’ensemble des villes où l’enseignant a travaillé depuis sa relaxe par le tribunal correctionnel. Laquelle n’avait pas été suivie d’une interdiction d’enseigner dans les écoles. Aberrant ? Oui, et pas qu’un peu. Suite à ce scandale, le ministère de l’éducation nationale a annoncé la prochaine mise en vigueur d’un loi qui obligera les services judiciaires à communiquer le casier d’un enseignant à l’administration dans laquelle il souhaite postuler. À elle ensuite de délibérer si elle souhaite accueillir en son sein un pédophile. Autant dire qu’on est loin du compte.