Enfin, après plus de six ans de tensions diplomatiques entre l’Iran et l’Occident, un premier accord partiel a été signé sur le confinement du programme nucléaire Iranien. Notamment sur le fait que l’Iran ne puisse jamais utiliser son nucléaire à 20% en vue de l’enrichir à 90% pour des fins militaires. Mais, hormis cela, il est vrai que de nombreuses divergences sont encore visibles.
D’un coté, le président iranien Mohammad Javad Zarif affirme le « droit inaliénable » à s’enrichir en uranium, de l’autre, les États-Unis affirment que l’Iran ne pourra s’enrichir en uranium qu’à hauteur de 5% maximum. Quant à Israël, ceux-ci souhaitent un arrêt pur et simple du programme nucléaire : convaincus que celles-ci sont destinés à la conception d’une bombe nucléaire contre les intérêts du pays. Quoiqu’il en soit, une première étape, très importante, vient aujourd’hui d’être franchie. Mais le plus dur reste à venir.