« Madison … Qu’est-ce que tu peux être stupide !! » —> Voilà ce que l’intéressée pense d’elle-même alors que des attroupements d’humains s’amassent devant le perron de l’hôtel. Allumer les lumières « parce que ça pourrait attirer l’attention de Nick gnagna ». Mais quelle c*nne !! Et alors qu’elle n’a de cesse de ressasser son erreur, voilà qu’un miracle apparait. Pas celui qu’elle espérait mais un miracle quand même —> Travis en chair et en os ! Ce qui est loin de rassurer Alicia vu ce qu’il s’est passé avec Chris… Et si par malheur ce psychopathe se trouve être avec Travis alors Alicia prendra les décisions qu’il faut pour rester en sécurité. Quitte à ce que cela ne plaise pas du tout à sa mère…
Non mais le coup des lumières… Je ne m’en remets pas ! À peine commençais-je à apprécier Madison que je la déteste à nouveau xD Il faut vraiment qu’elle arrête d’être obsédée par Nick !! Sachant qu’elle a la chance inouïe d’avoir sa fille à ses cotés !! Or, quel est le message envoyé ? « Tu n’es pas assez. Qu’importe que Nick nous ait quitté de son plein gré ». Elle va finir par vriller la petite… Quand bien même il ne s’agira jamais du même délire que Chris le psycho ._. Pour autant, il faut bien admettre qu’en termes de character building, le personnage a été finement rodé. À savoir le gosse paumé qui perd sa mère puis sombre petit à petit dans une apathie sociale qui le transforme en monstre.
Ce discours ahurissant où Chris dit n’éprouver aucun remord vis-à-vis de l’homme qu’il vient de tuer…et menace à demi-mot son père O_O Damn !! En tout cas, l’acteur Lorenzo James Henrie est très bon et cela, on ne pourra pas le lui enlever ! Quand bien même je hais son personnage xD Cette trahison (certes prévisible) qu’il assène à Travis histoire de laisser ses « potes » tuer leur autre « pote » devenu poids mort… On a l’impression d’avoir affaire à Negan dans sa jeunesse ! Anyway –> Bon épisode avec un final surprenant où on apprend que le père d’Alicia et Nick n’est pas mort dans un accident…mais s’est suicidé .__. Sa note d’adieu —> « Je vous aime tous. Mais trop, c’est trop ». Voilà qui explique pas mal de choses…
