Se vantant d’être intraçables, la paire d’abrutis ne cesse depuis de se vanter sur Facebook et Twitter. Samedi dernier, une fausse alerte attentat déclenche une large opération antiterroriste sur Châtelet. C’est un appel à la police, supposément lancé depuis l’église Saint-Leu de la rue Saint-Denis (1er arrondissement de Paris), qui incite les autorités à boucler tout le quartier. Des habitants sont évacués, d’autres confinés à l’intérieur des commerces. C’est finalement la BRI (Brigade de Recherche et d’Intervention) qui, alors qu’elle vient d’arriver sur place, informe l’ensemble des services de renseignement qu’il s’agit d’une fausse alerte. Entre temps, des débuts de panique sont notés ci-et-là et Twitter s’enflamme avec de beaux mythomanes qui affirment avoir échappé à la mort en esquivant des balles et autres flèches d’indiens.
Très vite, deux suspects apparaissent en ligne de mire. Il s’agirait de deux adolescents « hackers ». Lesquels ne maitrisent apparemment pas la langue française (cf le post plus haut). Affirmant avoir initié un swatting (canular téléphonique visant à mobiliser les forces de l’ordre pour rien), le binôme d’abrutis est certain de ne pas être tracé puisque l’appel a été lancé depuis des serveurs cryptés.Quid de leurs revendications ? Aucune si ce n’est la volonté de « faire le buzz ». Ha. J’espère tellement qu’ils vont se faire attraper… Sachant qu’une fausse alerte est passible de deux ans de prison + 30.000 euros d’amende ( ▔∀▔ ) Ça leur ferait les pieds à ces morveux ._.
