Que se passe t-il lorsqu’on lâche une ancienne usine et qu’on laisse carte blanche à toute une tripotée de graphistes ? Indice : Un joyeux bordel. Surtout quand la quantité de peinture mise à disposition est illimitée. De quoi laisser libre court à ses inspirations et donner vie à un endroit absolument badass. La comparaison avant/après est juste magique.
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