Son dernier tweet : « 30 heures à travailler et toujours aussi forte ! ». Mita Diran (Indonésie), 24 ans, décédera quelques heures plus tard d’un arrêt cardiaque. Cause du décès : une surcharge de travail beaucoup trop importante associée à la consommation de boissons énergisantes. En août dernier, un stagiaire londonien était lui aussi mort d’épuisement. Il serait temps que certaines entreprises comprennent qu’un employé n’est pas un robot, voire un esclave, qu’on peut consommer jusqu’à plus soif.
Le plus logique serait l’instauration de règles strictes forçant une boite à ne pas faire travailler ses employés tant d’heures d’affilés. D’autant plus que, bien souvent, ce sont les salariés eux-même qui décident de flirter avec le burn-out du fait d’un environnement ultra compétitif évidemment soutenu, voire encouragé, par la direction. Nos pensées à Mita Diran et à sa famille.
30 hours of working and still going strooong.
— Mita Diran (@mitdoq) 14 Décembre 2013