
Momo Ayase se retrouve dans un beau pétrin. Cernée par des hommes mal intentionnés alors qu’elle se baignait seule dans un onsen. Mais alors que leur leader pense avoir maitrisé la jeune femme, voilà que les pouvoirs télékinésiques de Momo font à nouveau merveille ! Mais le déchet est tenace et s’agrippe à sa jambe alors qu’elle tente de s’enfuir. Mais allez savoir si c’est sa chance ou le destin mais le onsen entier s’effondre sur les quatre agresseurs sexuels. « Quelle belle vue ! » ne peut s’empêcher d’observer Momo alors qu’un arc-en-ciel surplombe le geyser d’eau chaude et, en arrière plomb, une montagne magnifique. « Heureusement que ce onsen était décrépi comme pas deux ! » souffle Turbo Baba. « Lucky, lucky ! ». Tout s’explique ! Après tout, Turbo Baba se retrouve actuellement dans un Mankeki-neko censé porter chance. « Qu’est-ce que tu fiches ici ? » s’interroge Momo. « Ne me sous-estime pas, morveuse ! ». « Tu m’as sauvé, merci ! ». « Bwaaaaa ! Je t’ai sauvé de rien du tout ! ». Yare yare daze. […] « Bien ! Partons retrouver Okarun et Jiji ! ». « Bien ! Partons retrouver Okarun et Aira ! ». Ainsi que Turbo Mama.

Sacrifier des enfants pour qu’un village reste protégé de l’éruption d’un volcan. Plutôt logique ! Ou pas. Quoiqu’il en soit, cette Turbo Mama et son clan de déchetterie sont particulièrement dangereux. En particulier la matriarche qui se bat comme Uma Thurman dans Kill Bill. Mais ce n’est rien face au péril posé par ce « Kuragari » qu’est le Seigneur Serpent ! Et il s’agit vraisemblablement d’un… ovni. Selon Okarun, du moins. Et l’un de ses pouvoirs a l’air d’attiser la colère de n’importe quelle cible se trouvant dans sa zone. Et beh ! Vivement la suite ! Ça fait plaisir de retrouver Dan Da Dan aussi vite ! D’autant plus que la réalisation semble toujours aussi AAA avec une animation léchée et un storyboarding des plus inspirés. Avec une direction artistique nickel chrome ! Pas trop fan de l’opening niveau musique mais je préfère l’ending au premier.
