Et, bien sur, c’est aux États-Unis que ça se passe. Ainsi, le site Mother Jones affirme que de plus en plus de banques exigeraient les pseudos Fb et Twitter de leurs clients demandant un prêt. Ce qui, en absence de toute régulation sur le sujet, est tout à fait légal. Objectif : scruter les publications du dit-client afin de voir s’il est sérieux et digne de confiance. Plus grave, certaines banques n’hésiteraient pas à refuser des prêts parce que le dit-client est ami avec un de leur client insolvable. À quand la même en France ?
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