
Quel chapitre monumental ! On en parle du drip insensé de Sarada ? Quel flow ! Quel glow-up ! Le contraste entre le rouge sang et le noir profond lui va si bien. Et je sais que sa tenue ne plait pas à tout le monde mais popopopo, quel style ! Tenue noire courte et ajustée, manteau ouvert, ceinture rouge placée bien haut, pose pleine d’assurance avec ses lunettes, collier ras-du-cou + boucle d’oreille qui montrent l’affirmation du style de Sarada de l’enfant à l’adulte. Et, ici, on voit que Sarada a effectivement franchi un palier en termes de résolution. À travers son mangekyou sharingan et sa technique du Ohirume, Sarada accepte ses émotions, ses traumatismes et le fait qu’elle est capable de devenir bien plus forte en les embrassant. En quelques pages, Sarada est parvenue à se débarrasser à elle-seule de Ryu, une entité Shinju ! Malheureusement, il aura fallu la mort (?) de Yodo pour que Sarada se dévoile à son sommet.

Kashin Koji nous informe au passage que l’éveil de Sarada à Ohirume était primordial pour la survie de l’humanité face aux entités Shinju. Seulement voilà, autant Boruto a « laissé passer » la mort de Yodo, autant il était hors de question qu’il laisse mourir son senpai, Konohamaru. Quitte à mettre en péril son futur et celui des autres. Son arrivée est d’ailleurs épique au possible ! Une pose pleine de détermination froide. Une célérité telle que Konohamaru n’a même pas pu suivre des yeux son ancien élève. Et une Matsuri absolument choquée et peut-être terrifiée à l’idée de mourir. Mais Jura veille au grain et ne devrait plus tarder à faire son apparition. Or, Boruto a beau être surpuissant, Jura est une toute autre paire de manches. Hâte de voir comment nos héros vont parvenir à lui échapper ! Est-ce que Momoshiki va surgir de la pénombre ? Depuis le moment où on attend sa venue, ahah. Vite, la suite !
