Tant de morts ont déjà eu lieu. « Et j’en suis en partie responsable » réalise Batta. « Il n’y a pas mal à s’en vouloir » tente d’interagir Yatsume. « Même si tu l’as fait pour survivre, il est normal de souffrir quand on prend une vie ». « La ferme ! ». « Des femmes ne devraient pas se disputer » intervient Shamocchi. « N’interviens pas, débile ! » réplique Batta. « Calmez-vous ! » intervient à son tour Boruto. « Nous devons coopérer ! Coûte que coûte ! ». « Quoique tu dises… » réagit Batta. « Ces épreuves ont été conçues de façon à ce que l’on s’entretue ! ». « Essaye de t’en prendre à moi pour voir ! » rugit Kiseru. « Vous savez… » avoue Yatsume. « Si je m’en sors vivante, j’entends bien me colorer les cheveux ! ». Du désespoir à l’espoir. « Plus personne ne mourra ! » jure Boruto. « Coûte que coûte ! ». En quête d’ascète et de rédemption. En quête de liberté et d’égo.
Cet épisode s’est plutôt bien débrouillé pour étoffer la persona des huit survivants. De Batta travaillée eu égard aux crimes qu’elle a commis à ce Namua en quête d’ascète. Lui qui a volé tant de vies et réalisé leurs poids que bien trop tard. Encore une fois, dommage que la cohérence d’ensemble soit si légère. Voir des shinobi aussi talentueux contraints d’obéir à un vieux schnock qui, allez savoir comment, s’est débrouillé pour construire un escape game en acier trempé capable de résister à des attaques de haute volée… J’y crois moyen !
En temps normal, Ouga se serait fait neutraliser dès le début de cette farce. Au moins apprends t-on en fin d’épisode qu’un Outer, soit un sous-traitant de Kara, est impliqué dans l’intrigue. Et qui aurait pensé qu’il s’agisse de Kiseru Gankubi ! Et si Ouga… était un Inner ? Ça justifierait un peu plus le fait que ces épreuves soient aussi redoutables. Et peut-être que l’on verra un lien apparaitre avec le prochain arc (canon manga- d’ici la fin ! Coopérer ou mourir… Allez, la suite !