« Le système automatique a détecté un intrus ! » indique l’un des membres de l’équipe à Ino. « Le tag ? » répond celle-ci. « Aucune identité de chakra enregistrée dans notre base ». « Avertissez les unités de recherche ». « Bien ! ». […] « Intrus repéré ! » fait savoir le chef de l’escouade de terrain, Kohan Yamanaka. Etttt il s’agit de Sai ?! « Bien joué ! » les félicite t-il. « Le nouveau système est un succès ! » confirme Ino. Depuis qu’un traité de paix a été signé entre les Cinq Grandes Nations, le maintien de la sécurité n’a jamais été aussi aisé ! Ce qui ne justifie pas de relâcher sa vigilance. D’autant plus que les échanges entre pays ne cessent de s’accroitre et, avec eux, les flux de personnes. « Ainsi… » explique Ino aux genin face à elle (dont son fils, Inojin). « De plus en plus d’intrus seront amenés à s’infiltrer sans autorisation ». À Konoha ou ailleurs. « Voilà pourquoi la technologie et ses avancées présentent une opportunité réelle ». La Surveillance du Péril n’est pas chose à prendre à la légère. Même en période de paix.
Il est intéressant de savoir qu’après la 4e Grande Guerre, Ino fut à la tête de la reconstruction des équipements de détection de Konoha. Un exploit selon les dires de Kohan Yamanaka ! Autrement, j’ai apprécié qu’elle n’oblige pas Inojin à suivre sa voie en perfectionnant ses jutsus de perception. Bien que celui lui fasse de la peine. Il faut dire que son père, Inoichi Yamanaka, est mort dans l’exercice de son devoir. Shinobi ou non, Ino aurait souhaité qu’Inoichi puisse passer du temps avec son petit-fils. Enfin ! Inojin s’est finalement attelé à la Surveillance du Péril de son propre chef. Cette mentalité « Je ferai de mon mieux ! » plutôt que « Je réussirai coûte que coûte ! » est intéressante d’un point de vue réaliste. Au final, Inojin ne semble pas être fait pour la détection des signatures de chakra mais au moins a t-il tout donné. En tant que support logistique, ceci-dit, Inojin pourrait faire des merveilles ! Allez, la suite !
