Ça n’aura pas trainé. Alors que nous vous parlions hier de la volonté du gouvernement grec à supprimer le parti néonazi de l’Aube doré, son leader, Nikos Michaoliakos, a enfin été arrêté. Et il n’est pas le seul : cinq députés et une dizaines de membres se sont vus reçus des mandats d’arrêt pour avoir participé à des actes répréhensibles au sein d’une organisation jugé comme criminelle au regard de la loi. Sans compter les innombrables incitations à la haine et à la violence contre non pas des individus mais des races spécifiques. C’était la bonne nouvelle du samedi.