« Vous devriez utiliser un panier… » recommande Uotani Arisa à ce jeune homme qui semble perdu. « Autrement, vous risquez de ne pas y voir grand chose ». « Ha, oui… Désolé ! ». Ettt c’est le drame. Tous les sachets tombant par terre alors que le benêt venait de s’excuser en courbant sa tête. Ce qui déclencha un fou rire à Arisa ! « Ça ressemble tellement à Tohru ! » dit-elle. « Utilisez un panier, la prochaine fois ! ». Ce moment-là, l’idiot savait déjà qu’il le conserverait à jamais dans sa mémoire. […] Enfin, les grandes vacances !!! « N*que les études !!! » crie Arisa. « Je vais jouer comme une folle ! Manger, dormir et travailler pour gagner du fric !!! ». « Nous voilà libres tels des oiseaux dans le ciel » ajoute le plus calmement du monde Hanjima Saki. Enfin, pas tout à fait ! « Il faut que je parte bosser ! » assène l’ancienne délinquante. « L’argent ! L’argent ! L’argent !!! ». Voilà qui devrait pallier aux abandons de passage. « N’est-ce pas, le vieux ? ».
Le jeune benêt s’appelle donc Kureno ! Un crush mutuel que ne saurait pallier la différence d’âge entre les deux tourtereaux (neuf ans d’écart) ! Au passage, cela me sidère toujours autant de voir à quel point beaucoup de Japonais rêvent de ce genre de coup de foudre. Pourtant, la réalité dans l’archipel est toute autre. Femmes et hommes ne parvenant pas à se comprendre comme il le faudrait. Manque de communication. Manque d’empathie. Et la valeur Travail qui prend une énorme place au quotidien. Pas étonnant que l’Amour soit si compliqué à trouver. Pas étonnant que les abandons de passage aient lieu sans mot dire. En tout cas, je n’aurais jamais pensé que Kureno était un Soma ! En plus d’être lié à Akito… Décidément ! Comme si l’implication de Tohru dans cette malédiction familiale n’était pas déjà compliquée en soi. Allez, la suite ! Croisons les doigts pour que les retrouvailles aient lieu au plus vite !