« Et voilà le dessert que nous a apporté Kiriyama-kun ! » annonce Akari. « Plein de cerises ! ». Et qu’est-ce qu’elles sont bonnes ! Les soeurs Kawamoto se régalent ! […] « Pourquoi c’est pas moi qui commence en premier ? » se demande Hina. « Ha ! La règle veut que le joueur avec le moins de pièces commence la partie » lui répond Rei. Soit trois pièces contre 20 pièces pour la belle Hina-chan. Cinq minutes après, Hina-chan réalise qu’elle a perdu. Encore… « Rahhhhh ! Pourquoi est-ce que je n’arrive pas à perdre ?!! ». Qui plus est, il serait de bon ton que Rei-kun encourage sa (future ?) chérie ! […] « Dis, Hina. Est-ce que ça te dirait de me raconter ce qui se passe à l’école ? Quand tu veux et dès que tu le peux. Petit à petit ». Oui, il est peut-être temps de briser la glace. Autrement, Hinata risque de s’emmurer davantage dans sa solitude. « C’est comme si elles me regardaient toutes de loin ».
Dans la classe de Hina, une hiérarchie invisible s’est mise en place. Les bullies sont celles qui ont le droit de parler fort et de se pavaner un peu partout. Les élèves fantômes sont celles qui doivent se faire discrètes. Les bullied comme Hina sont celles qui se font discrètement ignorer par les élèves fantômes et harcelées par les bullies. Heureusement que Takahashi est intervenu ! D’ailleurs, je l’avais oublié, lui… C’est un peu le crush de Hina ! Ce qui signifie qu’il va être compliqué d’avoir une love story Rei X Hina ahah? D’autant plus que Takahashi est un sacré mec ! Il n’a pas hésité à défendre Hina face à Takagi et les deux autres pestes. Dire qu’il n’a que 14 ans. Enfin ! Pendant ce temps, Kiriyama-kun fait tout pour participer au Tournoi de Kishoushen, au Tournoi du Roi Lion et au Tournoi des Noobs ! Tout ça pour Hina. Laquelle ne sait plus quoi faire malgré l’intervention de Takahashi. Chiyo est tellement dépressive qu’elle n’a pas pu faire sa rentrée dans sa nouvelle école. Au lieu de ça, celle-ci est prise en charge dans un institut spécialisé. Et le bullying de Hina s’intensifie. Encore et encore. Mais la belle compte bien se battre. Jusqu’au bout. Parce qu’il le faut.
