L’accusé, âgé de 28 ans, dit avoir violer une mineure de 14 ans, d’origine togolaise, parce qu’il souhaitait la « purifier » du mauvais esprit via des pratiques vaudous. Ou, plus simplement, se chercher une excuse bidon pour justifier de multiples viols. Le pire ? La mère était également complice et fournissait des préservatifs au violeur ainsi que de l’argent. Tout cela afin qu’il « désenvoute » sa fille. Des pratiques qui peuvent sembler irréelles et qui, pourtant, demeurent en 2013.
Et encore, il ne s’agit pas de mentalités avec 10 siècles de retard, mais tout simplement de vices abjectes qu’il s’agit de condamner avec la plus grande fermeté. Et autant dire que, en France, on y est pas encore : l’accusé risquant, au maximum, 20 ans de prison. Sachant qu’il ressortira probablement avant avec, en bonus, une liberté conditionnelle sous réserve de bonne conduite etc. Tout va bien.