Viol en Inde : « Si elle s’était laissée faire, elle serait encore en vie à l’heure qu’il est »

Dixit l’un des violeurs et tueurs de la jeune Jyoti. Le 6 décembre 2012, la femme de 23 ans et un ami à elle sont pris à parti dans un bus par six individus (dont le chauffeur à l’origine des propos ci-dessus). L’homme est tabassé avec une barre en acier et laissé pour mort. Quant à Jyoti, elle sera violée par les six hommes et pénétrée par la même barre en acier. Suite à ce viol et agression d’une violence extrême, il ne lui restera que 5% de ses intestins.

Elle et son ami sont ensuite jetés du bus qui tente une marche arrière pour les écraser. Le 29 décembre 2012, en attente de greffes d’organes, Jyoti meurt de ses blessures. Depuis, les six monstres ont été interpellés, écroués et condamnés à mort à l’exception de l’un d’entre eux (mineur à l’époque des faits). Le principal commanditaire se pend quelques mois plus tard dans sa cellule. Quant à Mukesh Singh, chauffeur du bus, violeur et meurtrier, celui-ci, en attente d’être pendu, vient de déclarer à la BBC que Jyoti serait toujours vivante si elle s’était laissée faire.

Je n’ai pas de mot assez forts pour exprimer tout mon dégout vis-à-vis de déchets qui n’ont d’humain que leur façade. Je ne comprends pas comment on peut avoir de telles pensées après avoir commis un crime aussi abominable. Voilà pourquoi je continuerai à plaider pour la castration des violeurs avérés et leur condamnation à mort en cas de décès ou blessures graves de la victime. Mes pensées à Jyoti et à sa famille. Les violeurs et tueurs le paieront très cher.