À une demi-heure d’intervalle, deux terroristes jihadistes ont essayé de se faire exploser : l’un sur une plage à Sousse, l’autre à Monastir près de la tombe du premier président tunisien. Deux actes qui, encore plus que la révolution du printemps arabe de Janvier 2011 et l’arrivée au pouvoir du parti islamiste Ennahda, incitent de moins en moins les touristes à voyager en Tunisie. D’autant plus dommage qu’une majorité de tunisiens semblent se prononcer pour la laïcité et toute forme de répression religieuse, surtout si elle emprunte le chemin de la violence. Quelle honte qu’une telle minorité, qui ose s’attaquer à de parfaits innocents, en viennent à peser si lourd sur la stabilité d’un pays.
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