Les victimes d’agressions, vols et autres viols apprécieront : les condamnés à une peine inférieure à 5 ans pourront dorénavant bénéficier d’une peine de probation en dehors de la prison. Mais attention, avec des « obligations d’assistance et de contrôle ». Un peu comme le régime de semi-liberté quoi. Tu violes quelqu’un, on t’oblige à participer à des classes de « C’est pas très bien ce que t’as fait ho la la ». Puis, après, tu peux recommencer en toute impunité. Par contre, pour les victimes, il ne sera pas possible de retrouver la forme physique et mentale de départ causée par l’agression du condamné. Désolé !
Nous conseillons donc à tous les policiers et autres gendarmes de ne pas s’embêter à arrêter les voleurs et autres malfrats en tout genre : ça ne sert à rien, ils ressortiront tout de suite après. Étonnamment, l’Union des magistrats a fait part de son désaccord quant à cette nouvelle loi Haribo. Il serait donc peut-être temps que Taubira et ses copains arrêtent les Dragibus et reviennent dans la vie réelle deux secondes. Ce qu’il faut instaurer, c’est des peines fermes (beaucoup) plus sévères + la construction de nouvelles prisons : pas le contraire.