« Ça c’est mon fils ! » disait la légende de la photo avant que Twitter ne la supprime. Sharrouf, 33 ans, a fui l’Australie en décembre dernier avec sa femme et ses quatre enfants. Destination la Syrie et l’Irak en vue de participer à la guerre sainte. Autrement dit : une guerre par la terreur où meurtres, viols, tortures et persécutions sont justifiés car « tous les infidèles à Allah doivent être punis ».
La morale ? L’humain ? Ils ne connaissent pas. Pour en arriver à exploiter son fils et le faire poser aux cotés d’une tête décapité, c’est qu’il faut vraiment avoir abandonné son humanité. Quelle genre de vie aura t-il désormais ? Subira t-il un lavage de cerveau tel qu’il finira par adhérer à l’’Armée Islamique ? Clairement, de tels monstres ne méritent pas d’exister. Et s’il devait y avoir une importante intervention militaire, je serais le premier à la supporter.