Et bien, ça serait fort rigolo. Bien qu’un peu flippant : une machine ayant des besoins de machine. Hm. Ça me fait un peu penser à cette histoire de serpent qui se bouffe la queue. Ou encore ce principe de boucle bouclée. Dans tout les cas, belle critique de la société de consommation dans laquelle nous nous sommes engouffrés jusqu’à ne plus pouvoir en sortir. Ce n’est pas la machine qui dépend de nous, c’est nous qui dépendons de la machine. Triste.
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