
La nouvelle vie de Shin en tant qu’employé de l’épicerie Sakamoto fonctionne à merveille ! Cela étant dit, il serait bien avisé de ne plus évoquer le passé de Taro-san. « Chéri… » intervient Mme Sakamoto. « J’espère que t’es pas redevenu un tueur à gages ?! ». « Non, non, non !!! ». « Mais vous avez tué tous ces mecs, la dernière fois » fait remarquer Shin. « Que des blessures non fatales ! ». « Chéri, te rappelles-tu de ma promesse de divorcer si tu brises la règle familiale ?! ». « Oui ! Oui ! Oui ! ». C’est à partir de là que Shin comprit qui menait la baguette dans ce commerce. « Boucle-la la prochaine fois » menace Taro en pensée à Shin, télépathe de son état. « C’était pas la peine de me tuer en pensée ! ». […] « Alors c’est ça, Niikita Chinatown ! » s’émerveille Shin pour qui c’est la première fois. « Mais pourquoi avoir fait le chemin jusqu’ici ? ». « Seulement 50 yens la portion de buns au porcs » répond Taro. « Hooooo ! ». En voilà un qui adore sa famille. Quelques secondes plus tard, une jeune femme atterrit sur Sakamoto-san. Littéralement.

Et voici venir la prochaine protagoniste, Lu Shaotang ! Elle a des airs de Ranma et Demi, non ? Une chose est sûre, Lu maîtrise le Tai Chi et les buns au porc ! Ça m’a donné envie d’en acheter, du coup… Quant à Sakamoto Days, force est d’admettre que c’est divertissant sans être exceptionnel. Mais j’imagine que ce manga est plus qu’apprécié pour une raison. Si ce n’est plusieurs ! À voir comment la suite se dégoupillera mais, pour l’heure, la nouvelle vie de Sakamoto est à minima agréable à regarder. Et dotée d’une certaine chaleur. Aura t-on le droit à des arcs majeurs ou nous dirigeons-nous vers des intrigues courtes et drôles façon Gintama ? Seul l’avenir nous le dira. En espérant que Lu Shaotang se plaise dans son nouveau foyer. En hommage à ses parents disparus.
